Le fabriquant automobile ARO de Campulung risque de revenir dans le patrimoine de l’Etat et de devoir déclarer faillite, puisque l’entrepreneur Cross Lander qui l’avait rachetée en 2003 n’a pas réalisé les investissements prévus par le contrat. Plus encore, Cross Lander aurait encaissé, malgré les clauses du contrat de privatisation, pour 2,7 millions d’euros d’actifs, somme de beaucoup plus importante que ce qu’elle avait initialement payé pour acquérir les actions. John Perez, président de Cross Lander, soutient que l’entreprise avait non seulement rempli son contrat, mais dépassé les investissements promis. [S.G.]
[Roumanie.com]